

par: Jean-Claude Antakli
160 pages
ISBN 9782880224103
Myrna (diminutif de Marie) NAZZOUR, née en 1964, est syrienne, mère de famille, catholique orientale de rite byzantin, mariée à Nicolas, un orthodoxe comme cela se produit souvent au Proche-Orient, et qui vit dans le quartier chrétien de Damas au lieu-dit « Soufanieh ».
Elle reçut entre 1982 et 2014 des grâces extraordinaires (stigmates, extases, exsudations d’huile, messages de Jésus et Marie lors d’apparitions) qui aujourd’hui font signe d’ordre surnaturel.
Une icône, reproduction de Notre Dame de Kazan, a exsudé 60 litres d'huile d'olive pure à 100% et qui a guéri miraculeusement bon nombre de malades.
Des Patriarches orthodoxes, des Archevêques , des évêques catholiques, des nonces apostoliques, ainsi que de nombreux prêtres, de Syrie et du monde entier, sont favorables à l’accueil dans la foi et l’action de grâces de ces événements - d’ailleurs respectés par les autorités du pays - qui invitent à une vie de prière intense...
Jean-Claude Antakli nous présente dans ce livre les étapes du voyage en France de Myrna de Soufanieh (Damas, Syrie), en automne 2015.
Les événements de Soufanieh débutent le lundi 22 novembre 1982, lorsque la belle-sœur de Myrna, alitée et malade, est soulagée par l'imposition des mains de Myrna, adoucies par une exsudation inexplicable d'huile.
Trois jours après, c’est au chevet de sa maman, handicapée et immobilisée sur une planche, que cela se renouvelle. Le 27 novembre enfin, c’est l’écoulement d’huile odorante d’une petite image de la Vierge à l’Enfant, reproduction de la célèbre icône de «La Vierge de Kazan». Une foule de chrétiens et musulmans vient prier devant cette icône. Les manifestations se succèdent, messages, apparitions, extases dont la longueur varie.
Ces phénomènes continuent aujourd’hui et, alors que son pays est à feu et à sang, Myrna est venue témoigner en France des difficultés des chrétiens d’Orient à vivre leur foi au quotidien. Pleurant avec les larmes des Mères de Syrie, Myrna est surtout messagère d’espérance pour notre monde «séduit par le matérialisme, la sensualité et la célébrité, au point qu’il en a presque perdu ses valeurs».